Les @nalyses du CRISP en ligne – 10 décembre 2024
Le 25 novembre 2024 a débuté l’appel d’offres pour l’attribution de la première des trois concessions éoliennes offshore que compte la zone Princesse Élisabeth. Située à la frontière française, cette zone éolienne en Mer du Nord est la seconde à prendre place au large des côtes belges
De telles entreprises requièrent des investissements considérables, comme l’ont montré les expériences comparables menées jusqu’ici. Le développement et l’exploitation des parcs éoliens offshore poussent dès lors des acteurs publics et privés à unir leurs forces afin de partager les risques organisationnels et financiers importants qui entourent ce type de projet. Cette @nalyse du CRISP en ligne s’emploie à identifier les différentes sociétés actionnaires des huit parcs déjà en activité, ainsi que les liens qui existent entre elles. Cet examen permet d’entrevoir les motivations qui conduisent différents acteurs à s’impliquer dans de tels investissements et souligne l’importance que revêtent ces enjeux pour le futur, et ce à plus d’un titre
UNCCD – 2024
L’Atlas mondial de la sécheresse sert de signal d’alarme, offrant un aperçu des dures réalités de la sécheresse et appelant à l’urgence de notre réponse. Elle nous rappelle que la sécheresse ne tient pas compte des frontières, ne laissant aucune région ou aucun pays, quel que soit son niveau de développement, à l’abri de ses impacts. Cela nous rappelle que nos actions ont également des conséquences d’une grande portée – pour nous tous
À mesure que le monde devient de plus en plus interconnecté, les risques que nous partageons augmentent également. Pour gérer ces risques, il est essentiel de comprendre comment nos décisions et nos actions individuelles et collectives, ainsi que notre inaction, influencent les risques auxquels nous sommes confrontés
CurioKids, n°366 – mars/avril 2024
Dans le numéro précédent de ton magazine, on t’expliquait ce qu’était l’effet de serre naturel et le réchauffement climatique. Tu as découvert que les activités humaines du siècle dernier avait libéré beaucoup de gaz à effet de serre dans l’air. Ces gaz réchauffent notre planète plus que nécessaire. On t’a aussi parlé des conséquences graves de ce réchauffement, comme la fonte des glaciers, la montée des océans, les migrations forcées des animaux et des populations, la destruction des habitats naturels et les phénomènes météorologiques extrêmes
Mais ne t’inquiète pas, nous ne restons pas les bras croisés. Le monde entier se mobilise. Les êtres humains sont intelligents, créatifs et inventifs. Ils réfléchissent activement à des solutions à mettre en place. Dans ce numéro, nous allons te les décrire afin que toi aussi, tu puisses agir !
perspective.brussels – 7 novembre 2024
Au 1er janvier 2024, la population bruxelloise compte 1,25 million d’habitants. La Région bruxelloise n’a donc jamais été aussi peuplée. Quel est le rôle des migrations internes et internationales dans cette évolution ?
Le Baromètre démographique fait le point sur l’évolution de la population en 2023
IWEPS – Dynamiques régionales n°17
Réhabiliter les friches en Wallonie est un exemple emblématique de mesure à triple dividende, c’est-à-dire avec des retombées positives sur les trois piliers du développement durable : économique, social et environnemental
La réhabilitation des friches est une mesure inscrite depuis de nombreuses années dans les plans de redéveloppement et de relance économique de la Wallonie (du Plan Marshall au Plan de relance actuel), sous différentes formes et avec diverses caractéristiques. La réhabilitation de friches fait également l’objet de financements FEDER, de budget ordinaire de la Région ou encore d’investissements privés
RTBF.be – 25 septembre 2024
Il ne reste plus que les carcasses, signes d’un passé industriel désormais révolu. Le sol y est pollué, les matériaux rouillés, les vitres brisées et le béton fendu. Dans certains cas, la nature y a repris ses droits ce qui fait le bonheur des amateurs d’urbex ou des grapheurs. Les friches, ces terrains qui ont accueilli des usines autrefois et qui sont désormais vides et délaissées, sont présentes dans 93% des communes de Wallonie
Toutes ne ressemblent pas à ce décor. Il s’agit parfois d’un simple bâtiment sur un site de moins d’un hectare en centre-ville. Mais toutes ont un potentiel à condition d’être réhabilitées. D’où leur petit nom : les « SAR » pour « site à réaménager »