2021 – Focus de l’IBSA n°42
Les jardins privés occupent près d’un tiers de la surface des espaces verts de la Région de Bruxelles-Capitale. Si en RBC, les politiques régionales et communales sont surtout axées vers les espaces publics, les jardins privés ont aussi leur rôle à jouer pour la qualité du cadre de vie des habitants
Découvrez dans le Focus de l’IBSA n°42 :
Quelles sont les étapes à suivre pour structurer votre démarche stratégique ? Quelle méthodologie adopter pour traduire cela en une stratégie efficace ? Et quels sont les outils disponibles ?
Grâce à cette série de capsules vidéo de l’ULiège, (re)découvrez les phases et étapes clés essentielles à la mise en place d’une stratégie Smart City et prenez le temps de (re)clarifier le concept même de ville intelligente et durable
par Marie-Hélène Zérah, février 2021
Les efforts pour faire de Delhi une ville « globale » s’accompagnent d’une destruction de la nature et des communs, ainsi que d’une relégation des pauvres à la périphérie
L’évolution de cette métropole témoigne du besoin urgent de concilier justice écologique et justice sociale
À propos de : Gilles Pinson, La ville néolibérale, Puf
par Cyrille Hanappe , le 11 février
Comment le néolibéralisme modifie-t-il notre espace ?
Depuis un demi-siècle, une nouvelle géographie du capital entraîne la mise en concurrence des territoires, la financiarisation de l’immobilier, la gentrification des villes et l’éviction des classes populaires
Cette carte visualise la transformation radicale qui s’est produite à travers le monde au cours des 60 dernières années, d’un monde urbain à 30% en 1950, à un monde urbain à 54% en 2015 et à un monde urbain prévu à 68% en 2050.
Les cercles sur la carte sont proportionnels à la population des villes en 1950, 1990, 2015 et 2035. Déplacez votre souris sur les villes pour explorer leur dynamique détaillée. Les données proviennent du World Urban Propospects 2018 des Nations Unies.
Le site de gigapixel dont on retrouve son extension dans Google Earth. Ici, le lien renvoit au panorama de la ville de Tokyo. Ceci est la plus grande photo jamais prise au monde… Cette image est constituée de 600.000 pixels de large. En réalité, ce cliché panoramique pris du haut de la plus haute tour de Tokyo est constitué de 8000 photos et donne à voir une vue à 360° sur cette « ville fascinante », pour paraphraser le photographe, Jeffrey Martin.
« Sur cette photo, vous pouvez voir des détails à 25km de distance » , explique ce dernier. Le résultat est saisissant ! La qualité de l’image est telle que l’on peut zoomer à l’envi et qu’il est encore possible de distinguer le moindre détail; l’intérieur des appartements, ces ouvriers au travail, ces jeunes sur un terrain de sport, ces promeneurs dans un parc.
Muni de son Canon 7D, Jeffrey Martin a mis 2 jours pour saisir l’intégralité de cette image. Si la photo devait être imprimée, elle mesurerait… 50m de haut et 100m de large !
Le cliché est-il 100% réussi ? Qu’en diraient les sujets, s’ils n’étaient satisfaits de leur minois saisi par le cofondateur du site 360 cities ? Celui-ci répond avec humour : « Acceptez mes excuses si j’ai pris des photos peu flatteuses de qui que ce soit. C’est difficile d’avoir 13 millions de personnes qui sourient en même temps. »