Actu-Environnement – 30 octobre 2024
Avec son outil « Étape paysage », le Collectif Paysages de l’après-pétrole propose de se reposer sur la démarche paysagère pour spatialiser les ambitions énergétiques des territoires. L’idée est d’engager une réflexion collective sur la localisation des installations d’énergies renouvelables et des actions de maîtrise de l’énergie tout en s’interrogeant sur les paysages créés
L’outil s’appuie sur les particularités des paysages du territoire concerné et sur ses données énergétiques, issues des scénarios prospectifs de Négawatt et de Solagro. Il est aussi développé en collaboration avec le dispositif Destination Tepos, porté par le Cler – réseau pour la transition énergétique
Des premières expérimentations ont déjà été menées par plusieurs structures locales et régionales, parmi lesquelles des parcs naturels régionaux (PNR), des agences locales de l’énergie, des syndicats d’énergie, des pôles d’équilibre territorial et rural (PETR), ainsi que des communautés de communes et des écoles de paysage. Ces tests ont eu lieu dans le cadre de projets variés, tels que la déclinaison spatialisée des plans climat-air-énergie territoriaux (Pcaet), des plans de paysages intégrant la transition énergétique, la révision des documents d’urbanisme ou encore des initiatives de sensibilisation et de découverte des enjeux énergétiques et paysagers
ADEME – octobre 2024
Les quartiers de demain seront plus sobres, avec une consommation d’énergie réduite, des bâtiments rénovés, un compostage collectif pour les habitants, des panneaux photovoltaïques, des systèmes de ventilation double flux…
Cela vous semble lointain comme horizon ? Et pourtant, les aménageurs et collectivités peuvent construire dès aujourd’hui ces quartiers bas carbone, avec l’aide de l’ADEME
ADEME – 30 octobre 2024
Autrefois adepte de l’avion et des périples lointains, le créateur de contenus Tolt s’est rallié aux transports alternatifs à faible empreinte carbone
Une conversion heureuse, sous le signe du confort et de la découverte, et qu’il s’emploie à faire partager au travers du média HOURRAIL !
29 octobre 2024
Lancé en 2014, le site internet Georisques.gouv.fr recense la plupart des risques du sous-sol ou de surface existant sur le territoire français. Devenu la référence en matière d’information sur les risques naturels et technologiques, il est de plus en plus utilisé par les particuliers et les professionnels et fête ses dix années d’existence
Geotamtam – 26 octobre 2024
une vidéo de vulgarisation qui tente de mettre au jour les ressorts du vote Trump, cartes et graphiques à l’appui
Sont également mentionnés plusieurs essais récents parus sur le sujet
Actu Environnement – 23 octobre 2024
Une plateforme dynamique offrant des données spatiales de haute qualité sur les écosystèmes du monde entier. Tel est l’objet de l’atlas mondial des écosystèmes dévoilé à l’occasion de la 16e Conférence des Parties (COP 16) à la Convention sur la diversité biologique, qui se tient à Cali (Colombie) du 21 octobre au 1er novembre
Le Groupe sur l’observation de la Terre (GEO), organisme intergouvernemental collaboratif, a annoncé le lancement de la phase de validation de cette cartographie. Celle-ci a pour ambition de combler les lacunes constatées dans les données actuelles sur les écosystèmes en combinant « des cartes existantes de haute qualité avec de nouvelles créées à l’aide de la technologie d’observation de la Terre, de l’intelligence artificielle, de données de terrain et de l’expertise locale », explique, dans un communiqué, le secrétariat de la Convention sur la diversité biologique
« Les écosystèmes sont le support vital de notre planète, mais leur compréhension a été entravée non seulement par le manque de données, mais aussi par la complexité du panel des parties prenantes, beaucoup pensant qu’un accord sur un outil commun était impossible », explique Yana Gevorgyan, du secrétariat du GEO, qui se félicite de cette évolution
L’adoption de l’atlas doit permettre d’améliorer la prise de décision par les décideurs politiques, les institutions financières, les entreprises privées et les communautés locales en vue de préserver la biodiversité. « La surveillance des écosystèmes jouera un rôle déterminant dans la mise en œuvre du Cadre mondial Kunming-Montréal pour la biodiversité », souligne à cet égard Astrid Schomaker, secrétaire exécutive de la Convention sur la diversité biologique